On pensait que c’était réservé aux GCSMS, mais les GIP ont de toute évidence attrapé également le virus de la patate chaude.

Plusieurs établissements du secteur sanitaire ayant décidé, notamment dans le cadre de la transformation des SIH, de constituer un groupement d’intérêt public, pour des raisons tenant essentiellement à l’ouverture à des membres extérieurs au secteur sanitaire, se voient renvoyés de préfecture en agence régionale de santé et d’agence régionale de santé en préfecture par des agents pleins de certitude leur affimant la main sur le coeur : “Jamais entendu causer, C’est pas moi, c’est l’autre”.

Et, la plupart du temps, après plusieurs semaines, voire plusieurs mois “d’instruction”.

Kafka et Jarry s’en délecteraient assurément et nous aussi, si ce n’était que pitoyablement absurde…

Que fait la police ?