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Le Rapport 2012 de la Cour des comptes sur l’application des lois de financement de la sécurité sociale comporte un volet consacré aux transports sanitaires (dont une partie stimulante sur la lutte contre la fraude).

Vontairement, nous le prendrons par le tout pettit bout de la lorgnette…

La Cour constate que le recours aux transports varie considérablement selon les départements. Par département, le nombre de trajets en 2010 rapporté à la population protégée, varie dans un rapport de 1 à 3, soit de 0,32 à 0,95, la valeur moyenne étant de 0,54.

A votre avis, qu’est-ce qui explique que l’on ait le moins recours aux transports sanitaires dans les Hauts-de-Seine alors que l’un des champions du transport assis est le département de la Creuse ?

J’entends déjà la (les) réponse(s) (de ceux qui connaisse le département de la Creuse…).

Dans ces conditions, les solutions proposées par la Cour des comptes sont-elles les plus appropriées, notamment celle de réactiver la règle de l’hôpital le plus proche "y compris pour les traitements de dialyse, de chimiothérapie et de radiothérapie" ?

Maintenant, on peut aussi faire comme dans la Roumanie de Ceacescu : virer les gens des campagnes pour les stocker sous contrôle en ville à proximité de l’hôpital et des autres services publics.